Prog. 8 mars 2009

Petite histoire du groupe…

  • Rencontre de Bolette et Christine à Lyon en 2002 ; début d’une belle amitié
  • Création du duo Bain de Lune en avril 2004
  • Premiers concerts de Bain de Lune dans les chapelles bretonnes en été 2004
  • Concert en direct de la radio danoise en janvier 2005
  • Deuxième tournée bretonne en été 2005 ; avec Anthony, une nouvelle rencontre, le duo devient trio
  • Septembre 2005, création du groupe  « Lune Rousse »            
  • 10 novembre 2005 : Concert en direct de la radio danoise (avec la participation de Dan Ar Braz et Jacques Pellen)
  • Avril 2008, création d’un spectacle médiéVal.

Les Costumes ont été réalisés par : Louise Thébaud

Contact : 00 36 15 29 01 64

Lune Rousse est un spectacle à partager… Des airs celtiques pour le rythme et la danse, l’improvisation pour le voyage intérieur, la poésie pour le fil conducteur, un éclairage à la bougie pour la sérénité. Complicité, bonne humeur, émotion et méditation, Lune Rousse vous propose une soirée sous le signe de la convivialité…

Christine LAIZÉ, Chant, AIto et Violon

Diplômée du Conservatoire e National Supérieur de Paris, Christine LAIZÉ s’est déjà produite dans les plus grandes salles d’Europe, du Brésil et du Japon. À 1’alto, au violon ou au chant, en improvisation, musiques traditionnelles ou musique classique, Christine aime avant tout emmener les gens ailleurs…

Bolette ROED, Flûtes à bec

Considérée comme l’une des plus grandes flûtistes de sa génération, Bolette ROED joue  plus de trente flûtes différentes. Élue musicienne de l’année 2005 à la Radio Danoise, Bolette a produit plusieurs disques et joué avec les plus grands solistes. Mais avant sa grande virtuosité, le public apprécie sa simplicité, son énergie communicative et son petit accent danois…

Anthony DEBRAY, Percussions et Contes

Passionné de musique irlandaise et percussionniste de formation, Anthony DEBRAY se tourne naturellement vers la percussion irlandaise, le Bodhran (cf. photo ci-dessus avec un Bodhran). Il profite de son master de Politiques Culturelles pour étudier les mythes et légendes celtiques. Aujourd’hui Anthony se spécialise dans des contes bretons et accompagne ses histoires de percussions du monde.

Le bol tibétain


Instrument idéal pour la méditation et la relaxation, le bol chantant ou bol tibétain est utilisé pour la méditation et la relaxation. Le son produit est pur et permet l’apaisement de l’esprit. Ils se rattachent à la culture pré-bouddhiste animiste-chamaniste Bön de l’Himalaya d’où leur nom, souvent employé, de  » bols tibétains « . L’origine de ces bols remonterait à l’âge du bronze. Venus d’Extrême-Orient, via la Mongolie, ils auraient été introduits au Tibet par des forgerons nomades adeptes du Chamanisme. Ils sont fabriqués actuellement au Népal, en Inde, au Bhutan et au Tibet. Les bols chantants sont normalement constitués d’un alliage de sept métaux représentant 7 planètes du Système Solaire : l’or (le Soleil), l’argent (la Lune), le mercure (Mercure), le cuivre (Vénus), le fer (Mars), I’étain (Jupiter), le plomb (Saturne). La légende dit que le fer employé aurait une origine céleste et viendrait de météorites ramassées dans I’Himalaya. Les alliages diffèrent suivant l’origine de la fabrication : riches en argent et en étain pour les bols d’origine tibétaine, plus riches en cuivre pour les bols fabriqués au Népal qui ont une teinte laiton pâle. Les bols sont obtenus en martelant une plaque de métal sur une forme qui laisse des traces de façonnage sur le pourtour. On peut faire sonner les bols chantants en les frappant ou en les frottant. La manière la plus simple est de frapper le bol à la manière d’un gong. Pour cela on peut utiliser une mailloche recouverte de feutre. Cette méthode permet d’assourdir le bruit de l’impact et d’obtenir un son très pur. On peut utiliser aussi simplement le doigt ou I’ongle. L’autre manière est de frotter le bord extérieur du bol avec un bâton de bois dur. Le bol est posé sur la paume ou sur le bout des doigts de la main gauche. Le bâton est fermement tenu de la main droite. Le mouvement circulaire sur le bord du bol doit être régulier et relativement lent, la pression du bâton soutenue.

L’udu

Ludu est un instrument de musique à percussion idiophone du Niger en forme de jarre (c’est la signification du mot en langue igbo). C’est un cousin du ghatam de l’Inde. Il est façonné en terre cuite. On le fait résonner en le frappant du plat de la main (la basse est obtenue sur la bouche principale), des phalanges ou du bout des doigts.

Le bodhrân

Le bodhrân est un instrument de percussion utilisé dans la musique irlandaise. C’est un tambour sur cadre joué avec une baguette. On frappe la peau avec un bâton (stick, tipper) dont les deux bouts rebondissent dessus. La main qui porte l’instrument permet de jouer avec la tension de la peau afin de faire varier le son. Le bodhràn a été utilisé au cours de la rébellion irlandaise de 1603 par les forces irlandaises comme un tambour de guerre. Son utilisation permettait de donner la cadence aux joueurs de cornemuses et d’annoncer l’arrivée de l’armée; ce qui permet de penser que le bodhràn est dérivé d’un vieux tambour de guerre celte.

Le riqq

Le_riqq ou rekk est un instrument de musique de percussion classique répandu au Moyen-Orient depuis l’Antiquité. C’est un tambourin de 20 cm de diamètre, Il présente la particularité d’être joué avec les deux mains qui servent àla fois à tenir et à frapper le tambourin et les cymbales, à l’aide de techniques complexes. La richesse et la variété des sons se conjuguent à celles du répertoire rythmique classique.

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